M. BAMBA Abdoul Karim
JournalisteDate de décès : 22 décembre 2006
Remerciements
Les familles de feu Issa Bamba, ex-TP,
les familles de feu Aboubacar Sako,
les familles Diakité, Dicoh, Diarra, Ormon Léon, Ballo, Condé, Koné, Kassi, Angoran Detoh, Sangaré, Sidibé, Fofana, Dembelé, Coulibaly,
sa veuve Oumou Diarra,
ses soeurs ;
veuve hadja
Ballo Mariam Bamba,
Adam Bamba épouse Niangoran,
Condé épouse Yacine Bamba,
Traoré épouse Tanoh Madeleine dite Mado, ses frères Oumar, Hassan, Ahmed, Hussein dit Momo, ses enfants Yacine Colombe, Aziz, Abdoul Karim Junior, sa petite-fille Gallet Ange Priscilla,
El hadj Kalifa Diakité,
El hadj Moussa Diakité,
El Hadj Mory Diakité,
El Hadj Ministre Coty Souleimane Diakité,
El Hadj Ejc Issa Diakité, Préfet à la retraite, leurs frères, soeurs, conjoints et conjointes, enfants et petits-enfants,
les familles alliées et amies expriment leur profonde reconnaissance à toutes les personnes qui leur ont apporté soutien et réconfort lors du décès de :
BAMBA ABDOUL KARIM,
Ex-Professeur au Lycée Moderne de Treichville.
Les familles traduisent leur infinie gratitude à l’imam et à la communauté musulmane de la mosquée du 22ème arrondissement, à Mme le Proviseur, et à ses collaborateurs (personnel et corps enseignant) et les informent que la cérémonie funèbre du sacrifice du 7ème jour se tiendra inch’Allah dimanche 04 septembre 2016 de 08h30 à 11h au domicile du défunt à Cocody cité des arts.
Cahier de condoléances
Ci-dessous le dernier message posté sur le cahier de condoléances ouvert pour la famille.
voila le temps decide par dieu est arrive ,Il est le seul a decide et nous avons que l'impuissance via-a -vis de cette decision. c'est vrai l'amour que nous avons pour toi ne peut empecher ton depart.
Que la terre ou tu a connu le jour te soit legere
A dieu. ton frere lemou
Stupéfait, déconcerté et triste..
Comment et dans quelles conditions mon grand ami s'en est-il allé??
Que la terre lui soit légere et que son ame repose en paix.
Bamba Abdul Karim
Cher ami,
Nous avons mal, très mal
Nos yeux sont pleins de larmes
De ce que depuis ce 22 décembre
Tu dors désormais du sommeil éternel
Dans la lointaine cité souterraine
De Digbé-Tétié-Gazoa
D’où l’on ne revient jamais.
Nous avons mal, très mal
Nos âmes sont endolories
De ce que tu eus souffert,
De la maladie trop souffert
Et que la mort n’eut pas quitté ton corps amaigri
Avant que de t’ôter la vie.
Nous avons mal, très mal
Nos âmes sont en peine
De ce que, pour notre malheur,
Tu ne prendras jamais plus la plume
Pour nous abreuver de ta prose
Ta prose fervente et dénuée
Où à tous vents semés
Les mots jouent à vif.
Nous avons mal, très mal
Mais, nos cœurs sont en joie
De ce que, de ton vivant,
Tu eus fait, cher ami,
Plutôt envie que pitié
Et que grande étoile
Tu eus brillé de mille illuminations.
Nous levons nos voix vers les cieux
Et te dédions
En témoignage de notre exacte estime
Ces prières de nos cœurs
Afin que Dieu te veuille absoudre.
Nous te pleurons,
Cher ami.
Homme, nous te savions,
Comme nous-mêmes, mortel.
Mais, nous ignorions que tu nous quitterais
Dans la fleur de ton âge
Et que demeureraient à jamais
Nos rêves communs inachevés
Nos projets conjoints inaccomplis.
Tu nous rappelles qu’un coup de vent,
A tout instant, peut nous emporter
En poussière
Et qu’en vérité, chaque pas dans la vie
Est un pas vers la mort.
Adieu cher ami,
Repose en paix !
Léandre Sahiri
(Professeur, écrivain)
(Londres, le 29/12/2006)