Avec mon oncle Alphonse, c'était ton pied-mon pîed. Nous étions inséparables. Nous allions partout, par tous les temps.
Ta disparition est une grosse perte pour moi; la distance et mon état de santé ne m'ont pas permis de venir t'enterrer.
Nous, fils et filles d'akeikoi, nous avons perdu tout nos GRANDS, ceux sur qui nous comptions, ceux qui faisaient vivre le village et qui étaient de tous les combats.
En terme de personnalités, notre communauté famille et villageoise est devenue un désert total, sur qui repose le village?.
Beaucoup d'interrogation et d'incertitude.
Mon cher Alphonse, repose en paix à la droite de dieu le père tout puissant qui saura reconnaitre ta bonté sur la terre des hommes.