Christophe était un ami, même un peu plus, c'était une référence. Pour moi il n'est pas mort. La dernière fois que nous nous sommes vus, en 2006, à Abidjan, c'était dans la salle à manger des Barthélémy Kotchy où nous avons partagé un somptueux déjeuner avec le maître des lieux et d'autres amis : Harris Mémel Fotê, Charles Nokan, Séry Bailly... C'est le souvenir de lui ce jour-là que je garderai jusqu'à mon propre départ de ce monde.
Chère Madame Wondji, je n'ai pas l'honneur de vous connaître, ni vos fils, mais j'ai beaucoup entendu parler de vous. A vous je présente mes respectueux hommages, à vos fils ma sympathie.

Marcel Anoma (alias Marcel Amondji)