sinceres condoleances à sa grande famille.Ce monsieur demeura pour nous une grande figure du monde des arts et de la culture.Adieu honorable maitre du savoir.

Que la terre te soi légère et que tu puisse continuer a donner de ton enseignement dans l eau de la Repose en paix.

je m'incline avec respect devant sa memoir.En lui l'afrique perd un poid lourd de la culture.A son illustre famille,mes condoleances les plus sinceres auxquelles je joins mes prieres pour le repos eternel de son ame. Amen.

QUE LE SEIGNEUR VOUS SOUTIENNE ET VOUS FORTIFIE.
QUE LE SEIGNEUR COMBLE CE VIDE

Yako à toi mon fils Djialba et à toute ta famille. Puisse le Seigneur Tout-Puissant accueillir ton papa dans Son Royaume céleste et vous apporter à toi et à toute ta famille le réconfort dont vous avez besoin dans cette douloureuse épreuve. (Maman d'Ibrahim J.C, ton ami et frère d'UCAO).

Je n'ai pas personnellement connu Bernard Zadi, mais je l'ai beaucoup fréquenté dans ses œuvres. Et, comme citoyens, lui et moi avons fait vers 1990 le rêve d'une même chose pour notre commune patrie. C'était notre lien. Désormais, à moi aussi ce poète va terriblement manquer. Je m'associe au deuil de tous les siens.
Marcel AMONDJI, écrivain.

Un grand homme ne meurt jamais. Aurevoir Maître! Vive Maître! Du courage à son épouse que nous avons eu l'occasion de connaitre à son domicile. Mme le Maître que Dieu vous soutienne dans vos épreuves.

Le couple Kosso vous souhaite toutes ses condoléances. Puisse Dieu vous fortifier et apaiser votre douleur.

Marie-Jo
Je viens de tomber par hasard sur cette triste nouvelle.
je te présente sincèrement toutes mes condoléances.
Sois forte et que papa repose en paix.

Condoléances a la famille et qu'il repose dans la paix du Seigneur.

Ya ko à toute la famille Zadi ce n'est vous qui perdez c'est toute la côte d'ivoire qui perd un grand homme car il était n professeur hors du commun en littérature.que son âme repose en paix.ne citons pas que si un vieillard meurt c'est une bibliothèque qui brûle.(fin de citations.)

Appris ce matin que Bernard Zadi Zaourou nous a quittés pour toujours. J’ai été initié par lui, dans les années ’70 à aimer et comprendre la valeur et la puissance de la parole. Je n’ai jamais oublié ces cours, son sérieux, son franc-parler. Comment ne pas penser au « circuit de la parole » que j’ai retrouvé dans la séance des contes anyi bona, le peuple qui m’a accueilli pendant des longues années. Il m’a ouvert la porte à la compréhension des contes, des mytes. C’est grâce à lui que j’ai découvert Kaïdara, par exemple.
Nous nous sommes retrouvés plus tard au GRTO, d’abord à Treichville. C’était l’époque où Simone (Hivet ?) Gbagbo faisait partie active du groupe. Le GRTO me passait le matériel pour enregistrer les contes. Matériel qui se trouve à l’Institut de Linguistique. Ensuite au nouveau siège. Je rappelle quelques noms : Oupoh Gnaoré, Angèle Gnonsoa et Raphaël Atta Koffi. Entre nous il y avait des liens très solides, très forts, de travail et d’amitié.
Nous avons continué à collaborer quand il était ministre de la culture. Bernard a été un grand arbre à l’ombre duquel des générations se sont assises pour bénéficier de son ombre, un arbre qui a produit des fruits en abondance : nous tous nous en avons cueillis, savourés, et nous en avons été nourris.
Plutôt que regretter son départ, je remercie le Tout Puissant de nous l’avoir donné. Je suis très proche de sa famille pour partager et porter avec elle cette souffrance, cette perte qui affecte toute la Côte d’Ivoire. Je confie notre frère à l’inépuisable miséricorde de Dieu afin qu’il l’accueille dans sa paix, sa lumière, son bonheur sans fin.

Silvano Galli
B.P . 36 Sokodé – TOGO
silvanosma@gmail.com

Je salue avec déférence toute la Famille ZADI avec une pensée spéciale pour Monsieur Marcel ZADI KESSY et Monsieur Eugène ZADI.
En cette pénible et douloureuse circonstance, je voudrais très humblement exprimer toute ma proximité, ma compassion et mes très sincères Condoléances à la très Aimante et Aimable Famille ZADI. Croyez en la Bienfaisante Présence du Saint-Esprit tout près de VOUS.

Il me viens à l'esprit d'appeller satan contre DIeu en attendands que, Zadi, tu est mort;aussi vite je me rends compte que c'est utopique car Dieu est maitre de tout.Zadi repose en paix et que la terre te soit legere...

Yako à toute la famille ZADI.
Un grand homme est tombé. Que Dieu lui pardonne ses fautes et lui accorde le paradis. Aurevoir Professeur.

La nouvelle nous est parvenue
Cruelle mais implacable
Nous te pleurons Maitre....
Nos souvenirs d'étudiant et de disciple enfouis
remontent à la surface
Quelle maitrise de la langue...
quel art...
Quel engagement pour la culture..
Fascinés nous étions...
Adieu Maitre
Cet hommage à toi rendu t'a ému (nous aussi)
Tu resteras pour nous une référence
Merci pour tout ce que tu nous lègues
Un grand Héritage
Que la terre de tes ancêtres te soit légère
Mes condoléances à la famille

Toute mon affection et mon soutien à la grande famille , particulièrement à jeanne, laurence, marie josée........... que le Seigneur vous apporte le réconfort necessaire dans cette période de forte douleur.

Votre père aura vécu le bon combat et était un Homme d'une trempe exceptionnelle. Portez donc votre chagrin au seul Seigneur qui saura vous guider dans cette dure séparation..........

Yako Yako yako
Que Dieu vous apporte toute la force poue supporter cette douloureuse épreuve

J'ai appris avec un grand désaroi et beaucoup d'amertume la disparition physique de mon maître, qui fut disciple d'un autre grand chantre de l'Africanité Amadou Hampâté Bâ. Une encyclopédie vient de se consumer en disséminant à jamais les méandres de la connaissance qu'il a su si généreusement partagées dans l'esprit de tous ceux qui l'ont sollicité et au delà.
Cher père, cher aîné, cher ami, va répondre sans crainte à l'appel de ton Seigneur, l'Afrique et le monde sont fiers de toi.
"Les morts, ne sont pas morts", cependant mon coeur et mon âme meurtris ne cesseront de te pleurer jusqu'a son dernier soupir.
J'adresse au nom de toute la famille Amadou Hampaté, ainsi qu'à celui de la Fondation que le professeur aura appuyé de tout son dévouement, mes condoléances les plus attristées empreintes de cordialités affectives à la famille de l'illustre disparu,ma famille.
Puisse Dieu dans sa Miséricorde l'acceuillir dans sa félicité éternelle .

Il est des hommes qu'on ne peut imaginer mourir tant la culture qui les habite et qu'ils dégagent irradient chacun de nous. Nous, férus de Belles Lettres et des Faiseurs de Belles Lettres comme vous, Pro-fes-seur !

Aujourd'hui, vous rejoignez, par la grande porte, le Panthéon de tous ces hommes et ces femmes qui ont marqué (et promu !) la littérature africaine de langue française (notre si belle langue commune), partant, la littérature francophone.

Mort ?... Bien-sûr que non !... L'Artiste ne meurt jamais, puisqu'au final, seule compte l'OEUVRE laissée à la postérité.

Adieu Monsieur; Bienvenu Bernard Zaourou ZADI !