En 1988, quand j'ai su la nouvelle de sa mort en lisant un journal acheté par hasard dans une gare, j'ai téléphoné au siège de la Bceao à paris où on m'a renvoyé vers le siège d'Abidjan pour avoir les coordonnées de son épouse. Finalement, j'ai adressé un mot à ma presque belle-soeur aux bons soins de cette banque, comme on lance une bouteille à la mer...
Je suis heureux de trouver cette occasion de me joindre à cette autre famille à laquelle ma longue et dense amitié avec Abdoulaye me rattache.

cher frere ,et soeur,
en ce jour memorable , j'ai une pensee pieuse
pour mon oncle ,et j'aurai voulu que toute la Famille FADIGA
trouve en ces quelques mots l'expression profonde
de ma sincere compassion ...

SANOGO Djibril

21 ans déjà que tonton est décédé. Comme le temps passe vite. Qu'Allah le tout puissant lui accorde toujours sa miséricorde et lui garde grande ouverte la porte du paradis.

Grande est encore ma peine de penser que mon ami du collège, Hadji Fadiga, ait perdu très tôt son père, dont il me parlait tout le

temps lorsque nous étions à l'internat. Même si Hadji et moi sommes perdus de vue cela fait quelques années, j'ai toujours une pensée pieuse pour son cher papa et pour lui également, en ce jour anniversaire.

Epiphane Amanfo